viens-je-temmene - "Il faut avoir du chaos en soi pour enfanter une étoile qui danse." (Nietzsche)http://viens-je-temmene.cowblog.frCe qui me passe par la tête, ce qui fait ma vie, ceux qui habitent mon coeurCowblogfrWed, 26 Oct 2011 14:28:07 +0200180http://viens-je-temmene.cowblog.fr/souvenirs-3146627.htmlSouvenirsC'est marrant de voir à quoi tiennent les souvenirs...

Hier, faisant un peu de ménage dans les fichiers présents dans mon ordinateur, j'ai retrouvé des historiques de conversation msn. Un peu anciennes, puisque je n'utilise plus guère msn, faute de connexion internet assez stable.  Des conversations qui datent d'il y a environ un an et demi, correspondant à la fin du M1. Une période marquée par le "fuck la fac", lassées des incertitudes quant à la procédure de sélection en M2, blasées par les changements survenues dans les modalités de contrôle continu, fatiguées par certains enseignants qui ne nous aidaient guère.

Je relisais donc ces conversations et tout m'est revenu : cet état d'esprit, que je me souvenais d'avoir eu sans avoir été capable d'en garder la mesure, l'humour de nos conversations pour lutter comme on le pouvait contre la morosité ambiante.... La relecture de ces conversations fut un chouette moment, qui m' a arraché plus d'un éclat de rire!

Si j'avais su à l'époque que cela me ferait mourir de rire un an et demi plus tard!  J'aime assez ça : le retour du passé dans le présent, avec un sens aigu de ce qu'il a été, dans tous ses aspects mais n'en garder que le meilleur!
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http://viens-je-temmene.cowblog.fr/commentaires-3146627.htmlWed, 26 Oct 2011 14:28:00 +0200http://viens-je-temmene.cowblog.fr/souvenirs-3146627.html
http://viens-je-temmene.cowblog.fr/steve-jobs-said-3142911.htmlSteve Jobs said...
"Sometimes life hits you in the head with a brick. Don't lose faith. I'm convinced that the only thing that kept me going was that I loved what I did. You've got to find what you love. And that is as true for your work as it is for your lovers. Your work is going to fill a large part of your life, and the only way to be truly satisfied is to do what you believe is great work. And the only way to do great work is to love what you do. If you haven't found it yet, keep looking. Don't settle. As with all matters of the heart, you'll know when you find it. And, like any great relationship, it just gets better and better as the years roll on. So keep looking until you find it. Don't settle."

 
[Extrait du discours prononcé par Steve Jobs lors de la remise des diplômes de Standord, le 12 juin 2005]

 
Pour découvrir l'intégralité de ce discours (sous-titré) :


 
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http://viens-je-temmene.cowblog.fr/commentaires-3142911.htmlSun, 09 Oct 2011 12:45:00 +0200http://viens-je-temmene.cowblog.fr/steve-jobs-said-3142911.html
http://viens-je-temmene.cowblog.fr/un-petit-pas-3142852.htmlUn petit pas... ]]>http://viens-je-temmene.cowblog.fr/commentaires-3142852.htmlSat, 08 Oct 2011 23:46:00 +0200http://viens-je-temmene.cowblog.fr/un-petit-pas-3142852.htmlhttp://viens-je-temmene.cowblog.fr/article-3141221.html...« Toutes les batailles de la vie nous enseignent quelque chose, même celles que nous perdons. »

Paulo Coelho
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http://viens-je-temmene.cowblog.fr/commentaires-3141221.htmlSat, 01 Oct 2011 00:12:00 +0200http://viens-je-temmene.cowblog.fr/article-3141221.html
http://viens-je-temmene.cowblog.fr/risques-et-limites-3140760.htmlRisques et limitesSourire, c'est prendre le risque de paraître ridicule.
Pleurer, c'est prendre le risque de paraître sentimental
Tendre la main vers l'autre, c'est prendre le risque de s'impliquer.
Faire voir ses sentiments, c'est prendre le risque de montrer son véritable soi.
Étaler ses idées, ses rêves devant la foule, c'est risquer de ne pas être aimé en retour.
... Vivre, c'est risquer de mourir.
Espérer, c'est risquer le désespoir.
Essayer, c'est risquer l'échec.
Mais les risques doivent être courus, parce que le plus grand risque dans la vie, c'est de ne rien risquer.
La personne qui ne risque rien ne fait rien, n'a rien, n'est rien.
Quelqu'un peut éviter la souffrance et le chagrin, mais ne peut alors apprendre à ressentir, à changer, à grandir, à aimer, à vivre.
Enchaîné par les certitudes, l'individu est un esclave qui a renoncé à la liberté.
Seul l'individu qui risque est vraiment libre.

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En général, les statuts prêts à copier-coller made in Facebook ne m'inspirent guère. Toux ceux destinés à s'assurer qu'on est lu et/ou aimé de ses "amis" FB m'agacent et je les ignore systématiquement, fussent-ils publiés par mes proches.
Parmi ces statuts prêts à copier-coller, d'autres prêtent déjà plus à la réflexion, qu'il m'arrive parfois, quand ils me parlent, de copier-coller à mon tour, non pas tant pour les partager (quoi que...) mais pour pouvoir les retrouver plus tard.

Celui que je viens de copier-coller ici, je viens de le lire et d'une certaine façon, il me touche. Il me parle, en tout cas. Il me parle de moi. C'est bien la raison pour laquelle je ne peux pas en faire un statut FB.

Il me parle de mes plus gros défauts, de mon besoin obsessif de sécurité et de ma peur panique des risques. De mon besoin d'être rassurée, de mon envie d'éviter des conséquences négatives. De mon envie de contrôler au maximum mon environnement, pour ce faire. Et de mon impuissance à le faire. De mon besoin de me protéger et de mon incapacité de mettre à distance mes peurs. De la façon dont, bien souvent, je ne parviens pas à me contrôler moi-même, me condamnant par là-même à subir mes réactions.

Ce texte me parle surtout de l'immobilisme auquel je me condamne en souhaitant rester dans ma zone de confort. A cet égard, les leçons de conduite ne m'apprennent pas qu'à manoeuvrer un véhicule. Peur, confiance en soi...tout y passe! Je me dis souvent que ce qui me limite le plus, ce sont les limites que je m'impose moi-même. Par peur, par aversion du risque. Je ne peux pas sortir d'un coup, d'un seul de ces limites qui ont le mérite de me rassurer. Mon défi est peut-être alors de travailler à élargir progressivement ma zone de confort de façon à me permettre de prendre plus d'initiatives, plus de risques...sans avoir l'impression de me mettre en danger.
Peut-être....

Il y a quelques semaines, l'une de mes amies (étudiante en psychologie) affirmait qu'on avait tous en nous un côté névrosé et un côté psychotique. Je reconnaissais bien volontiers quelques tendances névrotiques mais niait farouchement toute implication psychotique. A l'heure où j'écris ces lignes, je continue de nier toute rupture avec la réalité. Pourtant, ce besoin de limites m'interpelle. Et si elle n'avait pas entièrement tort?

 

"Un moment, vous devez prendre une décision, les frontières ne maintiennent pas les autres à distance, elles vous enferment. Donc vous pouvez gâcher votre vie en traçant des lignes ou vous pouvez vivre votre vie en les franchissant. Mais il y a certaines lignes qui sont beaucoup trop dangereuse à franchir.  Je sais déjà une chose : si vous êtes prêt à courir le risque, la vue de l'autre côté est spectaculaire. "

Grey's Anatomy, S01E02

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http://viens-je-temmene.cowblog.fr/commentaires-3140760.htmlWed, 28 Sep 2011 18:24:00 +0200http://viens-je-temmene.cowblog.fr/risques-et-limites-3140760.html
http://viens-je-temmene.cowblog.fr/confiance-2-3138652.htmlConfiance #2 ]]>http://viens-je-temmene.cowblog.fr/commentaires-3138652.htmlMon, 19 Sep 2011 19:53:00 +0200http://viens-je-temmene.cowblog.fr/confiance-2-3138652.htmlhttp://viens-je-temmene.cowblog.fr/la-folie-3138231.htmlLa folie"Faire table rase n'est pas une folie. La folie, c'est d'accepter d'être malheureux et de continuer à vivre comme un somnambule hébété, jour après jour, nuit après nuit. La folie, c'est de faire semblant d'être heureux, comme si l'état actuel des choses devait nécessairement se perpétuer jusqu'à la fin de cette chienne de vie. Tout le potentiel, l'espoir, toute la joie, l'émotion, toute cette passion que la vie vous a pompé...il faut réagir ; il faut tendre les bras et les arracher des mains de cette populace et de ces vampires"
[Extrait du film Le complexe du castor]
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http://viens-je-temmene.cowblog.fr/commentaires-3138231.htmlSun, 18 Sep 2011 12:07:00 +0200http://viens-je-temmene.cowblog.fr/la-folie-3138231.html
http://viens-je-temmene.cowblog.fr/c-est-fini-3133058.htmlC'est fini...Dans le cadre de ma formation, un stage professionnel de 500h est requis.
Ce stage, j'ai eu la plus grande des difficultés à le trouver mais j'ai tout de même eu la chance de le faire dans le type de structure que je souhaitais : une structure spécialisée dans l'insertion socioprofessionnelle des jeunes.

500 heures, soit presque 4 mois...
....qui se sont achevées hier.

La fin du lever obligé à 6h, ça aurait dû me soulager...au contraire, ça m'a déprimée.
C'est que ce fut une expérience fortement enrichissante! J'ai appris tellement sur la structure, sur le travail en équipe et sur moi!

C'est bizarre, le sentiment qui s'est emparé de moi en abordant cette dernière journée : encore du travail à faire mais pas de pression, presque déjà du détachement. La conscience qu'on fait tout pour la dernière fois, et qu'il va falloir dire au-revoir.

Journée émotions....la première lorsqu'un conseiller a débarqué dans le bureau que j'occupais pour m'offrir un DVD de Genesis.  J'ai déjà été très touchée par cette initiative.
Je voulais préparer un peu mes au-revoir....il y avait des choses que je voulais témoigner mais dont je savais que je ne pourrai pas les prononcer sans m'effondrer. Alors j'ai préparé deux mots de remerciements, l'un à destination de l'équipe que j'ai accroché en cuisine. L'autre adressée à ma tutrice que j'ai déposé, accompagné d'un morceau de nougat, sur le bureau de ma tutrice lorsque je l'ai vue partir assurer le standard (l'agent d'accueil étant en congés).  Il était important pour moi de leur dire le plaisir que j'avais eu à travailler avec eux. Et de dire à ma tutrice à quel point j'étais heureuse d'avoir été encadrée par elle, dans une attitude toujours emprunte de respect, de confiance, de considération....une incarnation de la hiérarchie idéale!

Après avoir vaqué à diverses occupations, je suis allée au standard pour proposer à ma tutrice de la relayer. Bref, elle s'éclipse, avant même que j'aie pu formaliser ma proposition, sans que ça n'attire mon attention puisque dernièrement j'avais coutume de prendre le standard le vendredi, à cette heure-là.  Le standard est calme, je me connecte à FB et y écrit un statut attestant de mon cafard en ce dernier jour. A peine déconnectée, une conseillère prend le standard (ce qui ne m'étonne pas non plus, elle le prend le vendredi après-midi), elle répond au téléphone et se tourne vers moi "Il faut que t"ailles en cuisine. Mathilde [ma tutrice]  veut te voir, elle a l'air en pétard".

Je m'étonne, elle confirme. Et je flippe. Parce que ça ne ressemble pas à Mathilde, que je n'ai jamais vue s'emporter en 4 mois de temps. Parce qu'elle m'a écrit une évaluation élogieuse la veille. Parce qu'on n'a jamais eu de conflits. Mais j'ai peur. Parce que je l'estime beaucoup et que son avis est important. Que je ne veux surtout pas partir en laissant un mauvais souvenir.
Je vais quand même en cuisine et suis un peu rassurée en l'entendant, l'air guillerette :"mais qu'est-ce qu'elle fait, Marie-Odile?"

J'entre....et découvre l'équipe. Je les dévisage, interdite, le coeur battant la chamade.
Mathilde prend la parole, et me dit que l'équipe voulait me remercier pour le travail accompli tout au long de mon stage. Ils m'offrent un très beau cadeau : de quoi faire moi-même les salades que j'affectionne en été et que j'ai toujours emmenée toute faite pour déjeuner en stage. Un très bel ensemble composé d'un grand plat, de petits ramequins, de récipients pour l'huile et le vinaigre, poivrière, salière.

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Impossible de décrire mon émotion. Je pensais partir dans une relative indifférence....mais non! J'ai été visiblement beaucoup plus appréciée que je ne l'ai cru. Et mon travail a été reconnu. Chacun y va de son petit mot, pendant que je les remercie un à un. Quel moment!

Mathilde propose un thé, que j'accepte, consciente qu'il s'agit du dernier. On le partage avec la psychologue. Chacun retourne à son poste. Mathilde retourne au standard, je lui dis qu'à la base j'y étais allée pour lui proposer de la relayer. Elle accepte ma proposition mais me dit de finir mon thé. Pendant ce temps, je discute avec la psychologue. Une belle conversation, presque comme si on était collègues.

Je rejoins Mathilde une dizaine de minutes plus tard, m'excuse pour le délai en lui en expliquant la raison : "mais c'est normal, attend! Et puis c'est ton dernier jour!"

Et puis l'après-midi passe très vite, entre une mission confiée par Mathilde et la préparation de ce dont j'ai besoin pour finaliser mon rapport de stage. En toute fin d'après-midi, elle descend alors que je commençais à trier et préparer mes affaires. Elle me demande alors de passer la voir avant de partir : "Mais Mathilde, j'aurais jamais pu partir sans te dire au-revoir". Chemin faisant, je croise Nicole, absente le matin, qui m'abreuve de mots gentils. L'émotion est palpable, je sais qu'il est temps de dire au-revoir à ces gens qui auront tellement compté pour moi. Et je prends la mesure de la difficulté de la tâche.

Je monte prendre congé de Mathilde. Je lui remets un CV utilisé pour mener à bien le travail confié, ainsi que le support à mes premiers travaux. Les larmes n'étaient pas loin en montant, elles coulent franchement en posant mon dernier acte de stagiaire.  Je m'excuse, me trouvant stupide. Mathilde me reconnaît le droit d'être humaine. Elle décrit ces émotion comme positives, en tant qu'elles sont le signe que j'ai bien vécu mon stage. Elle a raison, même si c'est difficile. Elle et Nicole ont, encore et toujours, des mots très doux. Elles me redisent de ne pas hésiter à les solliciter en cas de besoin. Mathilde me redit de ne pas hésiter à donner son nom si j'ai besoin de références pour un employeur. Elles me redisent toutes les deux le plaisir qu'elles ont eu à m'avoir dans la structure, elles louent mon implication et mon sérieux....c'est un moment fort, très fort! On se dit qu'on se donnera des nouvelles, les adresses mail sont échangées et je décide alors que je leur remettrai en mains propres mon rapport sur ma mission de stage.

Mais il est temps de partir, mon train m'attend. Nicole me dépose à la gare, en renouvelant ses douces paroles.

Et voilà, c'est fini. C'était bon mais c'est fini...]]>
http://viens-je-temmene.cowblog.fr/commentaires-3133058.htmlSat, 27 Aug 2011 20:45:00 +0200http://viens-je-temmene.cowblog.fr/c-est-fini-3133058.html
http://viens-je-temmene.cowblog.fr/confiance-3132036.htmlConfianceLa confiance? C'est l'attente que notre désir de collaborer ne sera pas déçu, et que nos vulnérabilités ne seront pas exploitées par autrui. La confiance est une intuition, parfois une décision (plus ou moins argumentée) et une espérance, bien plus qu'une certitude. Elle est une forme d'optimisme, centré sur les relations sociales : comme l'optimisme, elle n'est pas un aveuglement face aux difficultés (en cas de vrais problèmes, optimistes et pessimistes réagissent de la même manière) mais une tranquillité face à l'absence de problèmes manifeste. Alors que l'optimisme ne modifie pas forcément les situations matérielles, la confiance peut le faire : accorder sa confiance à quelqu'un peut l'inciter à évoluer favorablement, et contribue aussi à rendre la société plus humaine.
 
[...]

Ne pas faire confiance, c'est consacrer beaucoup d'énergie à se méfier, observer, surveiller, vérifier, temporiser. C'est vivre dans une tension physique et une vision du monde négative qui vont s'avérer épuisantes et toxiques. C'est avoir du mal à baisser la garde alors que nous pourrions le faire. Cela permet certes d'éviter certaines duperies ou certaines déceptions. Mais à quel prix?
 
[...]

La confiance suppose évidemment  d'accepter un risque social relatif, celui de la tromperie ou de la duplicité de nos interlocuteurs, pour un bénéfice palpable, qui est celui de la qualité de vie.
Les bénéfices émotionnels de la confiance sont constants, par rapport aux avantages matériels ponctuels de la méfiance. "Trop bon, trop con?". Et si les "bons cons" avaient une vie plus heureuse que les "toujours méfiants"? Et si nous étions condamnés à nous faire avoir de toute façon dans notre vie? Et si cela ne devait rien - ou beaucoup moins que ce que nous pensons- à la méfiance ou à la confiance?
 
Christophe André,
In Imparfaits, libres et heureux - Pratiques de l'estime de soi
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http://viens-je-temmene.cowblog.fr/commentaires-3132036.htmlMon, 22 Aug 2011 21:03:00 +0200http://viens-je-temmene.cowblog.fr/confiance-3132036.html
http://viens-je-temmene.cowblog.fr/cadeau-en-or-3109378.htmlCadeau en or ♫ Un SMS va arriver, j’aurai 30 ans,
30 ans de liberté et soudain le bilan,
L’horloge tourne, les minutes sont des rides
Et moi je rêve, je rêve d’arrêter le temps ♫
 

Mickael Miro - L'horloge tourne


J'ai eu 30 ans lundi, et aucun sms n'est venu me l'annoncer. Pourtant, l'occasion n'est pas passé inaperçue aux yeux de mes amies et les messages d'amitié se sont succédés tout le long de la journée : ma Jum', Anne-So, Fanny, Rania, Marie-Laure, Audrey...et les autres.

"Je rêve d'arrêter le temps"..parfois quand les choses vont bien ou qu'elles vont trop vite, quand l'avenir me fait peur, quand je suis bien là tout de suite, maintenant.

Aujourd'hui, nul besoin d'en rêver, le temps s'est arrêté tout seul pour une délicieuse journée en compagnie de ma Jum' et d'Anne-So, une journée picarde où à défaut d'un vrai beau temps, j'avais avec moi deux rayons de soleil lumineux.

Le temps s'est figé dans le cadeau qu'elles m'ont offert : un album rempli par des photos et des messages de mes amies. C'est rien de dire que ce présent m'a énormément touchée. Je suis sensible à cette idée, qui vise dans le mille ; à l'organisation qu'il leur a fallu pour receuillir photos et témoignages ; s'occuper de choisir et acheter l'album, faire des tirages des photos, imprimer sur du joli papier coloré les mots de mes amies et leur donner une jolie mise en forme ; au temps consacré à l'élaboration de cette belle surprise.
Je suis également émue de redécouvrir de cette façon les photos de mes amies, parfois en ma compagnie, et aussi très touchée par ces jolis messages.

Un très joli cadeau, que je conserverai tout au long de ma vie. De la même manière que j'espère conserver dans ma vie les personnes ayant contribué à ce magnifique cadeau!

Merci à toutes!

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http://viens-je-temmene.cowblog.fr/commentaires-3109378.htmlSun, 15 May 2011 22:09:00 +0200http://viens-je-temmene.cowblog.fr/cadeau-en-or-3109378.html